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Depuis l’arrivée de Walter de Silva, transfuge d’Alfa Romeo, au bureau de style, Seat  continue au début des années 2000 dans sa logique globale de latinisation en dynamisant son image et en revendiquant un certain sang chaud. Les atouts principaux de la nouvelle Ibiza de 2002 résident dans son offre motorisation qui permet à une clientèle jeune de profiter des performants moteurs VW en déboursant un peu moins.

Fer de lance de la gamme Seat, l’Ibiza troisième génération est présentée au printemps 2002 et peut se prévaloir d’une bonne habitabilité, d’un nouveau regard, d’une ligne modernisée et d’une carrosserie agressive. Plus longue de 6 cm (3.95 m) et plus large de 7 cm (1.70 m) par rapport au précédent modèle, l’Ibiza dispose de trois finitions (Stella (redésignée Fresh en 2004), Signo, Sport). Dès l’entrée de gamme, elle possède quatre airbags, l’ABS avec répartiteur de freinage, le verrouillage avec télécommande et le volant réglable  La Signo ajoute la climatisation électronique, l’ordinateur, la radio CD, l’antipatinage et les jantes alliage. La Sport propose un châssis sport, des jantes 16 pouces, des sièges spécifiques, l’ESP et l’aide au freinage d’urgence. Quelques options existent comme la sellerie cuir ou le GPS.

L’Ibiza de 2002 est le premier modèle de la marque à intégrer « les trains roulants souples » développés par le Centre Technique de Martorell dans toute la gamme. Le modèle ibère partage sa plate-forme avec la VW Polo et la Skoda Fabia. Coté essence, la firme espagnole propose un nouveau 3-cylindres 1.2 12v de 64 ch et les 4-cylindres 1.4 16v en 75 et 100 ch. Au bas de la liste des diesels, le 4-cylindres SDi 1.9 64 ch est suivi par trois TDi, le 3-cylindres 1.4, 75 ch, et les 4-cylindres 1.9 l de 100 et 130 ch (avec une boîte six). (suite & photos)