Date de création : 19.02.2011
Dernière mise à jour :
13.05.2017
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Voiture populaire par excellence, la Ford Anglia s’est vite imposée dans le paysage britannique des sixties et connaitra bien plus tard son heure de gloire au cinéma dans Harry Potter et la Chambre des Secrets. Cette petite voiture légère au sourire énigmatique, fabriquée dans les usines Ford de Dagenham, est dévoilée au Salon de Londres en septembre 1959 et ne passe pas inaperçue avec sa lunette arrière atypique qu’aurait pu dessiner Zorro, de la pointe de son épée.
Le projet de l’Anglia, troisième du nom, porte le nom de code 105 E et démarre en 1956 sous la direction de Fred Hart et d’un designer venu tout droit de Detroit, Elwood Engel. C’est à lui que l’on doit le choix de cette lunette arrière inversée, une option qui n’était pas tout à fait une nouveauté. L’année précédente, la Lincoln Continental MK III avait repris ce curieux design d’un dreamcar de Richard Teague, la Packard Balboa de 1953.
Pour les ingénieurs de l’Anglia, cette solution n’était pas dictée par une quelconque recherche esthétique mais s’imposait pour offrir à cette voiture de 3.90 m de long pour 1.46 m de large et 1.44 m de haut, assez habitabilité pour emmener quatre passagers et leurs bagages sans sacrifier coffre et habitacle. Le calcul de l’inclinaison de cette fameuse lunette arrière a été étudié dans la soufflerie de Dagenham, en s’inspirant des travaux de Gustave Eiffel.
L’ingénieur français avait démontré que lorsque l’on place deux disques parallèles dans un courant d’air, le second à tendance à remonter vers la source du vent. Pour l’Anglia, la lunette constitue le deuxième disque et les remous d’air reviennent buter vers elle. Si ce phénomène ne permet pas à la voiture d’avancer plus vite, il réduit avantageusement la résistance à l’avancement. (suite de l'article, photos & vidéo)