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Date de création : 19.02.2011
Dernière mise à jour : 13.05.2017
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La Joconde Déglinguée

Publié le 05/05/2011 à 19:44 par stubs Tags : léonard de vinci la joconde art

 

Les ‘Experts : Florence’ travaillent actuellement sur un ‘Cold Case’ vieux de cinq siècles. Retrouver les restes de la femme censée être la Mona Lisa du tableau de Léonard de Vinci, la Joconde. Suite à la découverte du certificat de décès du modèle dans un ancien couvent de Florence, les travaux de rénovation ont pris une halte, laissant la place à une équipe de spécialistes. A l’aide d’un radar spécial, les experts passent au peigne fin le couvent en espérant trouver des fragments d’os et surtout du visage. Un programme d’ordinateur, basé sur les caractéristiques du visage de Mona Lisa, est utilisé pour comparer les ossements enfouis dans l’ancien couvent. Un nouvel espoir pour élucider un mystère qui taraude les historiens depuis cinq siècles. (Reportage de Nick Spicer pour la chaine Al Jazeera).

 


 

Des notes écrites en 1503 par un fonctionnaire florentin, Agostino Vespucci ont été découvertes par un expert, Armin Schlechter Ces notes confirment que le portrait de la Joconde est bien celui de Lisa del Giocondo, l’épouse d’un marchand de soie florentin, Francesco del Giocondo, ainsi que l’avait écrit l’italien Giorgio Vasari (1511-1574) dans un livre paru en 1550. Elle vivait dans un milieu bien aisé au cœur de la Renaissance italienne. Elle eut 12 enfants, quatre d’entre eux décédé à la naissance ou en bas âge.

 

Cela donne court aux théories selon lesquelles il s’agirait du portrait de la propre mère de Léonard de Vinci, Catarina ou encore un autoportrait du peintre travesti en femme. Théories farfelues, Catarina étant décédée une dizaine d’années avant la peinture du portrait, Léonard, lui, avait déjà passé la cinquantaine.

Le tableau le plus célèbre du monde est encore inachevé lorsque Léonard de Vinci l’emmène hors d’Italie. Jusqu’à sa mort au château d’Amboise, il conservera le tableau de la Joconde. Ce portrait attachant tombera dans les mains d’illustres propriétaires : François 1er, Louis XIV et Bonaparte.

 

 

Personne ne peut encore attester de l’authenticité de la toile exhibée au musée du Louvre. Est-t-il le tableau volé en 1911 puis retrouvé suspicieusement en 1913 ou est-t-il une de ses innombrables copies ?

Ce portrait énigmatique de la Joconde est devenu l’obsession des scientistes au fil des siècles, un véritable cas d’étude dans toutes les disciplines. Au XIXe siècle, l’anatomiste et chirurgien Charles Bell (1774-1842) découvre chez Mona Lisa les signes évidents d’une paralysie faciale périphérique rarissime, aujourd’hui connue sous le nom de Syndrome de Mona Lisa. D’autres chercheurs ont constaté l’absence de pilosité faciale, ni cils, ni sourcils ainsi que des ongles anormaux, faisant évidemment penser à la Kératose folliculaire spinulosa decalvans de Siemenns, généralement accompagnée d’une coloration anormale des dents (pourquoi elle gardait les lèvres pincées). Ce diagnostic est également renforcé par l’éclairage sombre du tableau qui traduirait une photophobie (crainte de la lumière), autre symptôme de l’affection.

 

 

Mais on ne s’arrête pas là ! Sa large mâchoire, son menton pointu, ses mains volumineuses confèrent à Mona Lisa des caractéristiques masculines autant que féminines prouvant à dire que La Joconde serait un authentique hermaphrodite, c’est à dire un homme dont les organes génitaux sont invisibles, atrophiés par un trop-plein d’hormones féminines.

Le chercheur japonais et prix de Nobel de la Paix en 2002, Matsumi Suzuki s’est basé sur la forme du crâne du modèle du tableau pour obtenir une empreinte vocale, fiable à 90%, qui s’est avérée anormalement grave pour une voix de femme.

 

 

Maintenant on passe au sourire étrange de Mona Lisa. Le Conseil national de recherches du Canada en 2006, grâce à une analyse du tableau au laser, certifie qu’elle était enceinte à ce moment-là, par le discret voile de gaze qui recouvre son visage. La grossesse est un état rarissime chez les hermaphrodites. Le nom même de Mona Lisa, d’origine inconnue, laisse perplexe allant jusqu’à le considérer comme une anagramme d’ Amon L’Isa (Amon, divinité masculine égyptienne et Isis, divinité féminine égyptienne).

Par ailleurs, Mona Lisa, nous l’avons déjà vu précédemment, atteinte de paralysie faciale souffrirait également d’une paralysie de l’épaule et du bras dues à une importante dissymétrie musculaire. Des podologues traduisent sa condition d’une cause orthopédique. La Joconde aurait une jambe plus courte que l’autre et les pieds plats, mettant à dure épreuve ses vertèbres.

 

 

On continue le check-up. Sa main droite enflée laisse imaginer un kyste ou une infection. Quant au discret nævus situé entre la base de la paupière et l’arête du nez indique la présence d’un trop haut taux de cholestérol.

Une étude conduite par les universités d’Amsterdam et de l’Illinois, basée sur la reconnaissance informatique des expressions, prouve que Mona Lisa était à 83% heureuse, à 9% écœurée, craintive pour 6% et enfin, en colère à 2%.

La typologie de la bouche de Mona Lisa, observée par d’éminents stomatologues et orthodontistes, indique une absence totale de dentition, soit de nature congénitale ou par manque d’hygiène dentaire.

 

Mona Lisa avait la Syphilis. Les petites tâches discrètes au niveau du cou n’ont pas échappé aux sexologues et gynécologues. Son teint jaune trahit un problème de foie selon plusieurs spécialistes en hématologie. Quant aux psychiatres, ils ont trouvé de l’anxiété et du stress dans le regard et dans l’expression du visage de l’icône.

 

En conclusion, notre Joconde était bien déglinguée, la pauvre ! Mais peut-on vraiment prendre la science au sérieux quand elle examine un patient qui relève de l’art. L’art de la science ou la science de l’art ?